Parmi les nombreux satellites du Mont-Blanc du Tacul, la pyramide offre la quintessence de l'escalade : un granit protogine magnifique, à gros grains, de belles fissures, des écailles, et un équipement en place seulement au relais. De (très) rares pitons parsèment la voie, obligeant une constante recherche d'itinéraire, sans être tout le temps persuadé d'avoir emprunté la meilleure ligne de faiblesse. balai d'hélico au dessus du glacier du Géant
la Pyramide du Tacul, à droite
une approche particulièrement délicate : ponts de neige, pente de glace, chaos de séracs et crevasses. On progresse sans bruit, à pas feutrés. Trop peur de rompre cette harmonie chaotique, cet équilibre instable.
neige et roc, entre ombre à lumière...
la Pyramide du Tacul, à droite
une approche particulièrement délicate : ponts de neige, pente de glace, chaos de séracs et crevasses. On progresse sans bruit, à pas feutrés. Trop peur de rompre cette harmonie chaotique, cet équilibre instable.
neige et roc, entre ombre à lumière...
progression en fissure, sous l'oeil aiguisé du Petit Capucin
Mario au relai
L5 : longueur clé se faufilant entre de grandes lames surplombantes. Deux pitons offerts par la maison !
Kristina, sur les dalles ensoleillées de L3
Mario au relai
L5 : longueur clé se faufilant entre de grandes lames surplombantes. Deux pitons offerts par la maison !
Kristina, sur les dalles ensoleillées de L3